Moi, vers mon métier de sophrologue
« La sophrologie s’est imposée à moi un soir d’été en 2015 lorsque je surfais sur internet.
Ce soir-là je passais d’une page à une autre en cherchant des méthodes paramédicales...
Et c’est tout simplement que le mot sophrologie
est apparu. »
Ce début de texte pourrait ressembler à un début de narration d’un livre ? Or je souhaite simplement démystifier mon approche car je n’ai eu ni illumination mystique ni message onirique…
Un intérêt fort pour la pratique psychocorporelle
Une simple consultation sur un site regroupant des techniques paramédicales destinées au développement personnel m’a mené vers mon métier de sophrologue dans le Bas-Rhin.
En même temps, cette rencontre coïncidait avec mon intérêt pour le fonctionnement psychique et physique de l’être humain : ma curiosité de la psyché et ses mécanismes, la somatisation et ses conséquences, ma conviction que chaque être a la clé en son for intérieur, ma capacité d’écoute et d’échange, m’ont amené vers la sophrologie: accompagner « autrui » vers une redécouverte de soi et de son potentiel, en abordant la relaxation, en vivant la détente, le lâcher prise… Puis en prenant conscience de cet instant même.
Après quelques lectures et une recherche plus approfondie sur la sophrologie, je me suis vite rendue compte que cette technique répondait à mes attentes et besoins : la pratique psychocorporelle.
Mon métier de sophrologue dans le Bas-Rhin
« L’étude et la pratique de la conscience en harmonie
» comme le résumerait son fondateur, le neuropsychiatre, Alfonso CAYCEDO.
Étant de nature réactive, je me suis aussitôt inscrite à l’Ecole de Sophrologie et de Sophrothérapie d’Alsace à Colmar (E.S.S.A.) pour me lancer dans l’aventure afin d’obtenir mon certificat de Sophrologue Praticienne en 06/2017 et une attestation de suivi de formation de Sophrothérapeute en 01/2022.
Mon CV - formations - expériences ci-dessous
